J’ai regardé le film Docteur Frankenstein (Victor Frankenstein chez les québécois, qui n’ont pas changé le titre comme chez nous, on applaudit les stupidités de ce genre, il y a un gars payé pour traduire les titres de films même quand c’est inutile ? o.O) et je l’ai bien aimé, surtout pour ces décors et son univers, moins pour l’histoire franchement minimaliste.
Si vous en avez marre des blockbusters avec des super-héros qui castagnent à tout va, passez votre chemin car lundi soir, j’ai été voir Batman v Superman : l’Aube de la Justice.
Entre deux épisodes de séries télévisées, je regarde quand même quelques films, seul ou accompagné, et j’ai parfois des surprises, bonnes ou mauvaises.
Hier soir, nous avons regardé le film 400 jours.
C’est un film de science-fiction indépendant (comprendre pas un blockbuster) qui pose des questions sans apporter directement la réponse.
Un de ces quatre, il va vraiment falloir que je mette plus de 5 secondes à réfléchir pour les titres des billets.
Je vais donc vous parler du film Cake, trouvé sur l’un des articles de Cyrille.
L’histoire est assez (trop ?) simple : un journaliste est viré du New York Times (prestigieux journal américain) pour bidonnage d’article.
Au Mexique, un homme utilisant l’identité du journaliste est arrêté.
Ce dernier apprend cette arrestation et va rencontrer le prisonnier, accusé d’avoir tué sa propre femme et ses 3 enfants.
Ça tourne autour de la manipulation.
C’est tout.
Pas d’enquête policière, pas de retournement de situation, même pas de happy end ou de suspense.
L’histoire est tiré du livre éponyme du journaliste.
On sent le malaise et au final, même si je pense au formidable film de Mancuso avec Dujardin, True Story ne lui arrive pas à la cheville.
Épargnez-vous de le voir et si vous ne l’avez pas encore vu foncez plutôt regarder le chef d’œuvre français de 2007.
Et comme je suis sympa, je vous mets les deux bandes-annonces pour le prix d’une 8) !
Hier soir, nous avons regardé un excellent film d’action, mais difficile de dire dans quel catégorie le ranger car il est plus que jamais d’actualité pour la description de la surveillance en réseaux dont nous (oui, toi aussi cher lecteur) sommes victimes.