Nouveauté à la maison cette année : l’arrivée d’une calculatrice dite scientifique (comprendre une calculette version je ne comprends rien aux 3/4 des touches) pour le fiston qui rentre en seconde.

Nouveauté à la maison cette année : l’arrivée d’une calculatrice dite scientifique (comprendre une calculette version je ne comprends rien aux 3/4 des touches) pour le fiston qui rentre en seconde.
J’ai mis à jour Ubuntu, passant de la 21.10 à la 22.04.
Vu que je n’avais pas fait de checklist récente, voici un bilan avec la liste de ce que j’ai installé en plus…
… et encore plus rapide ?
Suite à une mise à jour foireuse (un truc qui ne change pas, Windows ou Linux = même combat), j’ai dû, en urgence pour cause de télétravail, réinstaller mon OS le plus rapide (comprendre que Windows 10 rame plus qu’Ubuntu actuellement).
J’ai fini par trouver un bon moyen de redonner un coup de fouet à mon vieil ordinateur portable sous Ubuntu 17.10 Artful Aardvark et ce avant la sortie imminente de la version 18.04 Bionic Beaver : réinstaller la dernière version LTS 16.04 Xenial Xerus.
Un petit billet rapide pour donner une astuce si, comme ça le faisait chez moi, le passage à Gnome Shell et Wayland a transformé votre ordinateur passablement fluide (ça ramait pas trop quoi) en vieillerie asthmatique (ça rame quand j’appelle la liste des applications) lors de l’installation d’Ubuntu 17.10 Artful Aardvark.
Wayland, comme X.Org, permet d’afficher. Oui, il gère l’affichage graphique, de base, sur quoi s’appuie ensuite l’environnement de bureau Gnome Shell, Unity, Xfce, etc.).
X.Org est vieux, Wayland est son successeur désigné, donc les distributions commencent à l’intégrer par défaut, comme ici sur la nouvelle version d’Ubuntu.
Sauf que contrairement à Ubuntu 17.04, ça rame sur mon vieux PC.
Suite à une annonce comme quoi, pour la sortie de la prochaine version majeure (LTS) d’Ubuntu, la future 18.04, X.Org va redevenir le serveur d’affichage par défaut, j’ai voulu tester la différence, sous Ubuntu 17.10.
Pour faire celà, rien de plus simple.
Sur l’écran de connexion, il faut cliquer sur la petite route crantée à côté du bouton SE CONNECTER et de choisir Ubuntu on Xorg.
Résultat : ça ne rame plus, en tout cas sur mon ordinateur.
J’ai voulu tester rapidement Phoenix, un frontend (interface) pour libretro, une suite d’applications internes (cores) émulant de vieilles consoles (1 core = 1 machine).
L’interface utilisée partout est généralement retroarch que j’ai du mal à utiliser.
Phoenix est codé en QT5, avec une vieille version, il y a un problème avec une version d’Ubuntu récente donc lesdites bibliothèques auront été mises à jour.
Voici ma méthode :
wget http://fr.archive.ubuntu.com/ubuntu/pool/main/g/gst-plugins-base0.10/libgstreamer-plugins-base0.10-0_0.10.36-1_amd64.deb wget http://fr.archive.ubuntu.com/ubuntu/pool/universe/g/gstreamer0.10/libgstreamer0.10-0_0.10.36-1.5ubuntu1_amd64.deb wget http://security.ubuntu.com/ubuntu/pool/main/i/icu/libicu55_55.1-7ubuntu0.2_amd64.deb sudo dpkg -i lib*.deb
Je laisse de côté la suite (lancement des jeux, réglages, etc.) vu que l’interface n’est pas vraiment… user-friendly.
Pour désinstaller les bibliothèques :
sudo apt purge libgstreamer0* libicu55
Sources :
J’ai redécouvert Plex et le service de centre multimédia qu’il permet de créer.
En gros, on lance une partie serveur sur un ordinateur qui analyse des fichiers vidéos et il suffit d’installer un client sur… beaucoup de supports (ordinateur, appareil mobile, console, etc.) pour lire les fichiers à distance.
Rien de libre mais tout est gratuit ou presque, Plex vendant un pass… inutile selon moi.
Pour installer le serveur sous Ubuntu, c’est simple, même si le paquet n’est pas dans les dépôts :
C’est tout pour l’installation.
Plex Media Server est en fait un service, c’est-à-dire un programme qui tourne en arrière-plan dans la mémoire dès le lancement d’Ubuntu.
Il est donc possible d’accéder à une interface Web pour configurer le tout, ce que vos pouvez faire en cherchant dans le dash un icône qui va lancer l’adresse http://localhost:32400/web/
Il vous faudra créer un compte (directement dans l’interface) pour qu’ensuite chaque client que vous connecterez à ce compte puisse lui se connecter à votre serveur.
Par contre, sur mon double cœur, je trouve que ça fait ramer pas mal donc voici quelques commandes utiles :
sudo systemctl disable plexmediaserver.service
(enable
au lieu de disable
pour le réactiver)sudo systemctl stop plexmediaserver.service
(start
au lieu de stop
pour le relancer)Je lance le serveur selon le besoin en fait.
Il ne faut pas oublier de régler les paramètres des Agents qui rapatrient les informations sur les vidéos car à l’origine, tout est basé sur l’anglais, donc il y a quelques surprises sur les titres de films par exemple.
Canonical a eu la bonne idée, attendue, de sortir une nouvelle version d’Ubuntu, la 17.04 (rappel : xx = année et yy = mois, sachant que pour l’instant, Ubuntu sort en avril et octobre, donc je vous laisse trouver le prochain numéro de version) joliment nommée Zesty Zapus.
Comme souvent en ce moment, j’ai installé la dernière version d’Ubuntu : la 16.04 LTS (Long Term Support), appelée Xenial Xerus.
Comme ma dernière liste d’installation date un peu et que j’ai changé d’ordinateur, je remets ici pour mémoire ce que j’ai fait après l’installation de base.
J’ai récemment mis à jour trois appareils faisant tourner Linux.
Le résultat est plutôt inégal !