Quand tu ne peux pas jouer à Mario sur PS4, joue du ukulélé

Rien ne vaut un bon p’tit Mario des familles de temps en temps, entre deux grosses productions vidéoludiques.
Mais si tu n’as pas de console Nintendo, c’est chaud !

Heureusement, j’ai un ukulélé sur ma PS4 !

Ok, un jeu de mot pareil ne mérite que du mépris mais comme vous êtes chez moi, que j’y écris ce que je veux ou presque, j’ai décidé de vous présenter un jeu plutôt rafraîchissant en l’introduisant de la sorte, les titres putaclics n’ayant plus de secrets pour moi qui passe mon temps sur Twitter en ce moment !

Bref, je vais vous parler de Yooka-Laylee, un jeu de plates-formes multi-plates-formes (oui, je suis en forme (en forme de quoi ?  😆 )).

J’ai d’abord entendu parlé de YL (pour les intimes les faignants) via Kickstarter :

http://kck.st/1GNoMuF

J’ai contribué à auteur de 15 livres (anglaises) soit environ 21 € (le jeu est à 30 € en boîte sur Amazon et 40 € en dématérialisé, on notera le gars qui sait flairer les bonnes affaires), il s’est avéré que le jeu a explosé son objectif, donc tout le monde est content.

Alors Yooka-Laylee, ça vient d’où ?

Vous prenez des développeurs d’un défunt studio (Rare) qui ont sorti une (supposée, je n’ai jamais eu de N64) bonne série intitulée Banjo-Kazooie, vous leur faites recréer un nouveau studio (Playtonic Games) et vous sortez un jeu vidéo avec les mêmes ficelles.

Bienvenue donc au duo Yooka (le caméléon) et Laylee (la chauve-souris sur les épaules).
Les deux compères vont explorer plusieurs mondes à la recherche de pages déchirées tombées d’un livre mythique, chaque monde abordant une thématique (jungle tropicale, monde des glaces, etc. (oui, je n’ai pas été plus loin  pour l’instant 😳 )) et dans chaque monde vous avez la possibilité (l’obligation en fait, sinon le jeu va vous paraître très court) de récupérer les fameuses pages de différentes manières : courses, boss à vaincre, énigmes, etc.
Rajoutez des mini-quêtes annexes comme la récupération de fantômes, de jeton pour jouer à un jeu d’arcade inspiré des années ’80, etc. et vous aurez la formule complète.

Heureusement, en plus des mouvements de base des deux héros (le caméléon frappe les ennemis avec sa queue et peut utiliser sa langue pour absorber des pouvoirs tandis que la chauve-souris aide pour les sauts), il est possible d’en obtenir d’autres (gratuitement ou contre des plumes récoltées dans les niveaux).

Les niveaux sont bien dignes d’un jeu de plates-formes complets : les épreuves sont très diversifiées, la difficulté est progressive (obtenir les premières pages est assez facile, mais les suivantes demanderont plusieurs essais) et les graphismes réussis.

Côté musique, on retrouve le thème du ukulélé, avec des morceaux différents dans chaque monde, le tout donne un ensemble assez joyeux.

C’est mignon, familial, plein de challenges (oui, je lutte sur des sauts, comme à chaque fois que je joue à Mario), reposant avant ACO (sauras-tu cher.e lecteur.ice quel sera mon cadeau de Noël ?), bref un bon jeu !

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